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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 20:25

lise l'histoire & nous mercredi 29 octobre 2008

 

 

 

 

Artiste et Couturière (Française)
Née le 19 août 1883
Décédée le 10 janvier 1971 (à l'âge de 87 ans)



Née pauvre, elle n'eut de cesse que de masquer ses origines. Toute l'existence de cette reine de l'Allure oscille entre les éclats du succès, ses amours de haute volée et le bruit sourd de son destin solitaire. S'il fallait d'un mot résumer la vie de celle qui, entre intuitions et rébellions, aura été l' «ange exterminateur d'un style XIXe siècle» (Paul Morand), le terme serait double. Double, comme les fracas de la gloire qui entoureront cette reine de l'Allure et le bruit sourd de son destin d'amazone solitaire. Double, comme les deux C, symboles enlacés du succès de sa maison, fondée en 1914, qui aujourd'hui encore, vingt-sept ans après la disparition de la Grande Mademoiselle, authentifient sacs, parfums, foulards, boutons et autres essentiels accessoires de son sceau arc-bouté. Des initiales autrefois gravées dans le bois rugueux de la table de son arrièregrand-père, Joseph Chanel, cabaretier à Ponteils. Ce hameau cévenol au cœur d'une forêt de châtaigniers, berceau de sa famille paternelle paysanne mais sans terre, dont jamais elle ne prononcera le nom. Et pour cause.

S'acharnant tout au long de sa vie à forger sa légende pour «masquer ses origines» (Edmonde Charles-Roux), Gabrielle Chanel préfère ancrer son histoire sur les bords langoureux de la Loire, où elle est née le 19 août 1883, aux hospices de Saumur, ville célèbre pour son école de cavalerie. Enfant de l'amour, elle est la deuxième fille d'Albert Chanel, camelot («négociant», dira le Who's Who), et de Mlle Jeanne Devolle, couturière, Trois maternités plus tard, enfin mariée, à 33 ans, sa mère s'éteint. Epuisée. «On m'a tout arraché et je suis morte», confiera Chanel à son amie de la dernière heure, Claude Delay (Chanel solitaire, Gallimard), avec laquelle pendant dix ans elle partagera l'ultime version de sa vie. «J'ai connu ça à 12 ans», ajoute-t-elle, justifiant ainsi sa résistance aux coups du destin. Et son étrange passion pour la solitude, que ni sa célébrité ni ses amours de haute lignée ne parviendront à effacer.

Double, enfin, comme Coco, ce surnom aux accents conquérants dont elle dit qu'il lui vient de son père. Parti à jamais tenter sa chance en Amérique, pour tout héritage Albert lui laisse un nom, mademoiselle Chanel, et le statut d'orpheline. Ce mot qu'elle ne pourra jamais entendre sans être «glacée d'effroi».

A peine âgée de 15 ans, Gabrielle, en compagnie de Julia, sa sœur, est confiée aux religieuses du monastère d'Obazine, un orphelinat à quelques kilomètres de Brive. En chemisier blanc et jupe noire - source peut-être de «son paupérisme rageur [qui] se plaisait à dévaluer jusqu'aux pierres précieuses» (Paul Morand, dans L'Allure de Chanel, éd. Hermann) et de cette rigueur qui deviendra la quintessence du style Chanel - tout au long des jours sans fin elle apprend à ne compter que sur elle-même pour gagner les galons de sa liberté.

N'aspirant pas au noviciat, à 18 ans, Gabrielle est confiée aux dames chanoinesses de Moulins, qui lui apprennent le pointilleux métier de couseuse. Elle y retrouve sa tante Adrienne, dernière-née de ses grands-parents prolifiques. Elles ont le même âge et surtout la même ambition: s'en sortir. Habiles à manier le fil et l'aiguille, les voici bientôt placées en qualité de commises dans une maison spécialisée en trousseaux et layette. Dans cette ville de garnison où les jeunes gens de bonne famille viennent apprendre l'art de la guerre en aiguisant leurs armes de conquérants, leurs jolies silhouettes ne manquent pas d'être remarquées.

Très courtisée, Gabrielle, qui ne compte pas partager le sort anonyme des cousettes, est prête à prendre des risques. Même si la frontière est fragile entre sa volonté et le péril de passer pour une femme facile. En quête d'un avenir dont elle refuse qu'il se limite à broder sur des draps de coton fin le chiffre d'heureuses élues qui ont croisé l'amour officiel, le soir elle tente sa chance là où d'autres feront basculer à jamais leur destin. La voilà poseuse sur la scène d'un caf' conc' où elle fait ses premières apparitions, silencieuses.

Bientôt, elle ose pousser la chansonnette. Au beuglant de La Rotonde, face à ces officiers du 10e régiment de chasseurs à cheval venus chahuter la gommeuse à la voix aussi frêle que sa taille, «tout engagée dans la guerre de plaire» (Edmonde Charles-Roux). Gracieuse, avec sa lourde chevelure sombre comme son regard, ses seins sveltes qui marqueront son style et ses jambes maigres de garçon, elle devient bientôt la favorite de ces messieurs. Qui qu'a vu Coco dans l' Trocadéro? A peine entamé son air fétiche, elle recueille «un tonnerre de rigolade». En guise de bis, la cousette qui découvre l'enivrement du succès est rappelée à coups de «Coco!» joyeux ou graveleux. Qu'ils sont loin ses rêves de tendresse paternelle susurrée à l'heure du marchand de sable!

La découverte de la vie de château
La vérité sur les premières années de Chanel, c'est à Edmonde Charles-Roux qu'on la doit. Dans sa biographie, L'Irrégulière ou Mon itinéraire Chanel (Grasset), l'ancienne rédactrice en chef de Vogue traque chaque détour de sa vie pour y retrouver cette vérité qu'en «femme fatale à elle-même» (François Nourissier) Chanel a désespérément cachée. Par crainte de perdre sa force?

Gabrielle, qui n'a pas le talent de Mistinguett, cette autre gommeuse ravageuse en robe de paillettes noires dont la réputation remonte jusqu'à Moulins, sera sauvée par Etienne Balsan de ce destin sans avenir autre qu'horizontal. Son premier homme, son amant peut-être, son ami pour toujours est un riche gentleman rider qui vient de rendre ses galons d'officier pour se consacrer à l'élevage et aux courses. Il lui fait découvrir la vie de son château, Royallieu. Pendant près d'un an, elle apprend les arcanes de la haute société. Vite. Mais elle s'ennuie et elle pleure. Elle a 18 ans et nulle part où se réfugier.

Alors elle s'échappe en jodhpurs de peau, ces culottes de lad qu'elle s'est fait copier par un petit tailleur du coin, pour humer tout à son aise l'atmosphère rassurante des écuries. Quand elle ne se fabrique pas des petits chapeaux singuliers - «si secs, si sévères» - qu'elle porte «très enfoncés» avec ses premières robes cousues main pour assister aux courses, ce rendez-vous où les demi-mondaines paradent sur la pelouse dans des tenues qui flattent les avantages, leur seule fortune. Avec son style d'écolière austère, on la remarque. Et on la juge. Celle qui rendra la mode «honnête» s'en moque. Froufrous et tralalas ne sont déjà pas son genre.

Galopant à cru dans la forêt de Compiègne, Coco trace à perdre haleine les chemins de son avenir. Même si la célèbre Emilienne d'Alençon règne encore sur le cœur d'Etienne Balsan. Peu lui importe, Gabrielle n'aime pas. Du moins, pas de cette irrésistible passion qui, deux ans plus tard, la fera suivre Arthur Capel, dit «Boy», jusque dans la capitale. Où il l'installera boulevard Malesherbes, dans la garçonnière de Balsan, son meilleur ami qui ne la regrette pas encore.

Boy est un anglais au teint mat et au passé mystérieux - on le dit fils naturel du banquier Pereire - dont elle sera l'inavouable compagne pendant neuf ans. Homme de cheval - il a une écurie de polo - et d'affaires - il a fait sa fortune dans les frets charbonniers - Capel aime cette rebelle qui se révèle plus «fauve» que «moineau abandonné». Mais c'est une jeune veuve anglaise sans autre intérêt que d'être fille de baron qu'il épouse. Un mauvais virage sur une route du Midi à la veille de Noël 1919, alors qu'il rejoint sa régulière qui attend un second enfant de lui, et Boy sort de la vie au volant d'une automobile trop rapide. «Je perdais tout en perdant Capel», dira Chanel cinquante ans plus tard. Tout et plus encore. Car c'est Boy qui prend au sérieux ses velléités de travail, dont Balsan pensait qu'elles n'étaient qu'une toquade. C'est lui qui finance l'ouverture de sa première boutique de modiste, Chanel Modes, au 21 de cette rue Cambon qui deviendra à jamais son fief. Repliée sur Deauville pour cause de guerre, c'est en 1914 que Coco, avec Capel à ses côtés, fera ses premières gammes de couturière en habillant les belles élégantes réfugiées dans leurs maisons normandes.

L'étoffe manquant, elle taille des robes de sport dans le jersey des sweaters de lad, ces tricots d'entraînement qu'elle a depuis longtemps adoptés. Libérant le corps, abandonnant la taille, Chanel annonce cette «silhouette neuve» qui lui vaudra sa réputation. Pour s'y conformer, les femmes s'efforcent d'être «maigres comme Coco», qui d'un coup de ciseaux libérateur devient la «première femme aux cheveux courts». Et se trouve bientôt à la tête d'un empire forgé à la force de ses poignets, qui ont la «fragilité de l'acier». Trois ans plus tard, mademoiselle Chanel, qui emploie plus de 300 ouvrières, rembourse enfin Boy, refusant à jamais le statut de femme entretenue.

Tout est en place pour un avenir qui s'annonce brillant mais, encore une fois, solitaire. Ne manque à Coco Chanel, en deuil de son amour, que d'avoir ses entrées dans le cercle étriqué des gens du monde, au contact desquels jamais elle ne perdra sa lucidité.

Celle qui l'introduira, c'est Misia Sert, cette belle Polonaise, «être rare qui ne saurait plaire qu'aux femmes et à quelques artistes» et que Satie surnommait «la mère Tue-Tout». «Parasite du cœur» (Paul Morand), la muse de Bonnard et de Vuillard, l'égérie de Diaghilev et de Stravinsky sera sa «seule amie» (et peut-être plus encore). Misia, dont Coco disait: «Le chagrin d'autrui l'attire comme certains parfums attirent l'abeille», avait senti son génie. Et, «avec son flair de revendeuse», elle lui ouvre les portes de la mondanité.

De 1920 à 1939, Chanel - elle a lancé Nº 5, son premier parfum - règne sur Paris. Six mois après la mort de Boy, à son retour d'un long voyage en Italie avec Misia et sa bande, elle s'installe au Ritz - des années plus tard, elle y retrouvera ses habitudes de femme blessée. Et elle reprend sa «vie de dictateur»: succès et solitude sont son lot quotidien. Coco ne pleure plus. Elle se perd dans le travail. Et elle invente. Le costume de sport, les faux bijoux qu'elle fait dessiner par François Hugo, le sac en bandoulière parce qu'elle se lasse d'égarer le sien, et les sandales à semelle de liège qu'elle s'est fabriquées pour marcher sur le sable brûlant de la plage du Lido, à Venise. D'un coup de ses ciseaux fétiches, qu'elle porte toujours autour du cou retenus par un bolduc blanc, elle démode les couturiers, «tue l'excentricité» et donne aux femmes l'allure de leur liberté.

Paris vibre du son nostalgique des violons tsiganes qui accompagnent les nuits blanches des Russes émigrés. Chanel rayonne et n'est plus totalement seule. Elle partage sa vie avec un homme, le grand-duc Dimitri, qu'elle a installé dans sa villa de Garches, où elle abrite déjà Stravinsky et sa famille. Ors, broderies et zibelines de Sibérie entrent dans ses ateliers, tandis que le cousin du tsar assassiné lui révèle les raffinements de palais et la misère des rois déchus. «Les princes de sang m'ont toujours fait immensément pitié, confiera-t-elle à Paul Morand. Leur métier, quand ils l'exercent, est le plus triste qui soit et, quand ils ne l'exercent pas, c'est pire.»

Car c'est un autre seigneur, le duc de Westminster, rencontré à Monte-Carlo, qui va entrer dans sa vie alors que son propre empire s'étend. Et que sa réputation n'est plus à faire. «Bend'or», du nom du fameux étalon de son père, possède une immense fortune, mais il est la «simplicité même». «Simple comme un clochard», dira Chanel, pour qui son amant devient le symbole absolu de l'élégance. La preuve? Il ne porte «jamais rien de neuf». Des landes d'Ecosse où le duc chasse les grouses au pont de ses yatchs, de l'Irlande aux Carpates en passant par Heaton Hall, son château, pendant six ans celui qui a trop de maisons pour toutes les connaître sera à ses côtés. Mais, c'est inscrit dans le destin de l'éternelle fiancée, Gabrielle Chanel ne deviendra pas anglaise. Benny est charmant, pourtant elle s'ennuie, «de cet ennui sordide de l'oisiveté et des riches». Elle exige qu'il se marie. Rideau. Lui restera ce goût des vestes de tweed usé qu'elle a chipé à «l'homme le plus riche d'Angleterre». Et quelques théories fracassantes sur l'argent.

«N'épousez jamais un homme qui a un porte-monnaie», conseillait, péremptoire, celle qui savait si bien de quoi elle parlait, jugeant à jamais les hommes sur leur façon de dépenser. Et qui a, sans doute, refusé de devenir duchesse, comme si elle voulait rester «de son propre fait, orgueilleusement, de celles qu'on n'épouse pas» (Nourissier).

Gabrielle Chanel, qui a rayé très tôt de sa vie ce qui lui restait de famille de sang au profit de celle du cœur, préfère les doutes des artistes, ses seuls vrais amis, aux fastes princiers: Cocteau, Picasso, Darius Milhaud, Serge Lifar, Diaghilev - dont elle paiera l'enterrement à Venise, en 1929, sans le dire - Stravinsky, dont elle finance sans le faire savoir Le Sacre du printemps, seront ses remparts contre les chimères de la mondanité. «Pour la première fois, Coco aime vraiment, affirme Misia Sert à Colette, dévoilant l'amour de son amie pour Pierre Reverdy. Fantasme ou parole d'intime? Le poète fut en effet le compagnon de l'ombre, l'amant sombre et difficile qui donne le goût des livres à celle qui cultive sa solitude.

Des années moins roses s'annoncent pour Chanel: une grève de ses ouvrières, les premiers congés payés et l'arrivée d'Elsa Schiaparelli. Cette couturière d'origine italienne, amie des surréalistes, a ouvert sa maison en 1934. Chanel vacille mais se bat pour récupérer sa couronne. L'actualité ne lui en laissera pas le temps. Ou peut-être a-t-elle senti l'urgence d'une retraite. En 1939, peu après la déclaration de guerre, elle licencie tout son personnel et ferme la rue Cambon. Retour au Ritz, où la reine s'enferme. Pas tout à fait seule. Elle a une longue liaison avec Hans Gunther von D.., un officier allemand qui aime les jolies femmes. Et la vie facile. Il ne facilitera pas celle de Chanel. A la Libération, elle est arrêtée. Puis relâchée quelques heures plus tard. Sur une intervention, dernier geste du fidèle duc de Westminster? Mystère. Omettre est un art dont Chanel connaît encore parfaitement le maniement.

Exilée en Suisse, rageuse mais fière, c'est d'un palace de Saint-Moritz qu'elle voit venir ce «new-look» qui donne aux femmes les poses minaudantes, souvenirs d'avant avant-guerre, contre lesquelles elle s'est tant rebellée. Tailles étranglées, jupes trop longues, Christian Dior, maître du jour, entrave à nouveau les femmes, allant à contre-courant des convictions de la Grande Mademoiselle. Il lui faudra quelques années encore pour se remettre de ce coup du destin sur son propre terrain.

En 1953, à 70 ans, Chanel prépare son retour et réintègre la rue Cambon. Après un premier essai - une collection ratée lui valant les salves de la presse qui l'a tant portée aux nues - défendu par le journal Elle (Hélène Lazareff en tête) et reconnu par les acheteurs américains, son style retrouve les faveurs des femmes. Ses vêtements, simples mais justes, sont l'uniforme préféré des femmes modernes, dont Jackie Kennedy, en novembre 1963, dans son tailleur rose taché de sang, sera le symbole fracassé. Copié, plagié, le «style Chanel» est plus qu'une mode, un phénomène. Mais 1968 l'attend au tournant de la révolution. Chanel, pour qui «les modes sont bonnes quand elles descendent» mais pas quand elles viennent de la rue, se défend et tente de rester hors d'atteinte, sûre de ses prérogatives: elle seule donne les mots d'ordre.

Plus maigre et mordante que jamais, plus injuste aussi, despote isolée entre ses paravents de coromandel et ses lustres aux éclats froids du cristal, elle se réfugie dans les rites des essayages et de ses exigences, entourée de ses courtisans et mannequins. Sans amour. «Furieuse et droite comme un capitaine sur le pont d'un vaisseau qui sombre», écrira Françoise Giroud dans L'Express. Cherchant dans les miroirs de l'escalier de sa maison de couture, où elle se cache les jours de défilé, à saisir les reflets de sa gloire qui jamais n'est parvenue à effacer les blessures de son désespoir intime. «Les vraies réussites sont fatales», disait celle qui est retournée vivre dans son appartement du Ritz. Et qui travaillera jusqu'au dernier soir de sa vie, le 10 janvier 1971. Un dimanche, ce jour consacré au repos et à la famille. Tout ce qu'elle déteste.



 

rediffusion samedi 01 Novembre 2008 à 10 h
www.radio-orion.com

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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 22:38
jeudi 23 octobre 2008

liz : Nous parler en compagnie de "Monsieur Burtin Directeur de la prévention routiere"
 


La neuvième semaine de la Sécurité Routière a particulièrement été animée. Elle a pris fin le lundi 20 octobre 2008.

De nombreuses actions sont organisées tout au long de l'année par des associations, des collectivités locales et les institutionnels.

Pour mener des actions, vous trouverez tous les renseignements sur le site


ACTUALITES

DELEGUEE INTERMINISTERIELLE



Par décret du 11/07/2008 Michelle MERLI est nommée déléguée interministérielle de sécurité routière et déléguée à la sécurité et à la circulation routières au Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'aménagement du territoire.


Gendarme référent

Depuis le premier juillet 2007, dans la compagnie de gendarmerie de Nantes, le dispositif de Gendarme Référent est mis en oeuvre en vue d'accompagner les familles des victimes d'accidents mortels de la circulation routière.




Triangle de pré signalisation


Obligatoire au 01/10/2008, le triangle répond à la norme E 27 R.







Gilet fluorescent

Par décret 2008-754 du 30/07/2008, le gilet est obligatoire au 01/10/2008 pour les véhicules carrosés,le gilet fluorescent doit répondre à la norme CE EN 471 ou EN 1150.
Quelles sont les couleurs homologuées ?


L'ACTUALITE MOTARDS
Concentration Moto

association les squales
Le moto club "LES SQUALES" de St Philbert de grand lieu (44) organise sa
4 ème concentre le week-end du 4 et 5 octobre.

Contacter Franck au 06.50.66.18.41

Nous contacter



Si vous souhaitez annoncer votre action dans nos pages, bien vouloir nous adresser un mail par le contact.


LES NOUVEAUTES SUR LE SITE

Les clips de Sécurité Routière



Les derniers clips de la campagne de la sécurité routière et les anciens sur l'alcool.




Espace Jeunesse LA FERTE BERNARD



Lundi 13 et Mardi 14 octobre 2008 : Espace Jeunesse La Ferté Bernard ( simulations deux roues, alcool, réflexes, etc.)


Rencontre Motards CARDY LE MANS



Samedi 18 octobre 2008 : CARDY LE MANS une journée de rencontre avec les motards

DAVID, Impliqué dans un accident


VU DANS L EMISSION ILS FONT BOUGER LA FRANCE le clip de David cité dans l'émission de France2 " Ils font bouger la France"




KAWASAKI LE MANS


Une journée de rencontre à la concession KAWASAKI LE MANS entre les motards et l'association SASER qui propose de nombreuses animations.


CONFERENCE ST SATURNIN


Un médecin urgentiste, un chirurgien orthopédique et une infirmière informent sur les dangers de l'alcool et de la drogue au volant.


Soirée Code de la Route

Une soirée remise à niveau Code de la route avec un test de code et correction, simulations d'alcool et deux roues, voiture tonneau et test aux chocs, des réponses aux questions par des IDSR

Sensibilisation à SABLE SUR SARTHE

Sensibilisation aux risques routiers avec piste d'initiation deux roues, simulation d'alcool et deux roues, voiture tonneau test aux chocs, réponses aux questions par des professionnels du deux roues.





L'ACTUALITE EN SARTHE

Remise de Permis aux motards


Le Préfet de la Sarthe a remis officiellement aux 100 nouveaux motards


Prise en main 1ère moto


La première formation prise en main 1ère moto






DEPLIANT DEUX ROUES MOTORISE


Monsieur le Préfet de la Sarthe , a présenté le dépliant d’information "Moto, cyclo, scooter,. la prudence, c’est ton moteur !" destiné à prévenir les conduites à risques liées à l’usage d’un deux roues motorisées.


rediffusion samedi 25 octobre à 10 h

www.radio-orion.com

Bilan de l'accidentologie en Sarthe


Le bilan de l'accidentologie de sarthe mis à jour chaque semaine.




Tests salivaires


Les tests salivaires pour le dépistage de la drogue au volant sont arrivés dans la Sarthe.


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19 octobre 2008 7 19 /10 /octobre /2008 14:47

pierre qui roule 20 octobre 2008

liz :  les lougarous en périgord

Le loup-garou ou lycanthrope est un personnage de légende, vagabond et malfaisant, qui passait un pacte pour avoir le pouvoir de se transformer en loup.

Terminologie Le terme anglais « werewolf » équivalent de notre loup-garou vient du francique werwolf qui signifie déjà « homme-loup » (« wer » représente la même racine que le latin « vir », l’homme). Originellement, wolf voulait aussi dire « voleur »[1] ou viendrait de l'allemand "Wolf" voulant simplement dire loup. Le terme latin équivalent est versipelles.[2]

Dans le dialecte de certaines régions, comme en Basse-Normandie et en Bourgogne, le nom de « Vairou » était employé autrefois, la lettre V ne subissant pas la mutation en G dur, fréquente lors de l'évolution des mots bas-latins vers le français.

Le terme « lycanthrope » vient lui du grec lycos (« loup ») et anthropos (« être humain »). C’est donc un être humain qui se croit transformé en loup. Le terme générique thérianthropie désigne une transformation d'un être humain en un autre animal ou la transformation inverse, qu'elle soit partielle ou complète. Il s'applique donc au loup-garou

D'après Ernest Jones[3] le nom russe du loup-garou est volkodlak, (de volk (loup) et dlak (poil)), alors que le terme slave vukodlak, qui désigne également le loup-garou, est utilisé en Bulgarie et en Serbie pour désigner le vampire. De même en tchèque : vilkodlak et en grec : vrykolakas sont utilisés pour désigner le vampire, ce qui signifie qu'il existe un rapport étroit entre le loup-garou et le vampire.

La légende

La légende

Les trois éléments essentiels de la croyance aux loups-garous sont les idées de métamorphose animale,de cannibalisme et de voyage nocturne

Caractéristiques et attributs

Selon la légende, lors des nuits de pleine Lune, l'humain loup-garou, se transforme en un loup énorme avec des sens sur-développés et acquiert les caractères attribués à cet animal : puissance musculaire, agilité, ruse et férocité. Il chasse et attaque sans merci ses victimes pour les dévorer, ne contrôlant plus ses faits et gestes, et pouvant tuer de nombreuses victimes en une seule nuit. Les gens se sont mis à chasser les loups, s’en protégeant avec de l'eau bénite et les tuant avec une balle en argent ou avec des pieux d'argent.

L'homme atteint de lycanthropie doit généralement ôter ses vêtements avant de prendre la forme du loup-garou. Cette croyance apparaît déjà dans le Satyricon de Pétrone (Ier siècle). De même, dans le "Lai de Bisclavret" de Marie de France (XIIe s.), un chevalier doit se déshabiller entièrement avant de se métamorphoser et dissimule ses vêtements sous une pierre creuse car, s'il ne les retrouvait pas, il serait condamné à errer indéfiniment sous la forme d'un loup.

Selon la tradition, les loups-garous souffrent de la même répulsion que les vampires pour les choses sacrées et étaient, de même, considérés comme créatures du Diable. Leur condition peut être héréditaire ou acquise. Elle peut advenir par une malédiction prononcée par un sorcier ou par un prêtre, ou en trinquant (sans le savoir) avec un loup-garou qui prononce alors une formule de transmission (croyance lituanienne). Ils mènent un combat ancestral contre les vampires car ceux-ci sont leurs ennemis naturels.

La transmission par morsure est une invention du cinéma américain, par rapprochement avec le mythe du vampire.

De même, selon la légende, les humains loups-garous peuvent conserver quelques caractéristiques, telles une modification de leur voix et de leurs yeux, des sourcils se rejoignant au-dessus du nez, des ongles légèrement rougeâtres, le majeur et l'index de même longueur (comme une patte de loup), les oreilles implantées un peu plus bas et en arrière de la tête, et de façon générale un peu plus de poils sur les mains, les pieds et dans le dos.

Mais il peut aussi simplement se transformer en un loup immense, pratiquement de la taille d'un cheval ; ou avoir la tête d'un loup, le corps recouvert de poils, une queue, des griffes et des pattes de loup, mais il reste sur 2 pattes, comme l'être humain, et ses pattes arrière sont fortement développé afin de pouvoir marcher et possède une puissante musculature.

Le loup-garou peut donc être un homme vivant métamorphosé, mais il peut aussi être un corps qui sort de la tombe sous la forme d'un loup, variété connu sous le nom de loup-garou fantôme. On croyait par là que le corps métamorphosé était celui d'une âme damnée qui ne trouvait pas le repos dans sa tombe[3]. Cette âme damnée cherchait alors un hôte, humain de préférence. S'en suivait une confrontation quotidienne entre l'âme humaine et l'âme damnée afin de prendre possession du corps. Si l'âme damnée l'emportait, alors la transformation pouvait avoir lieu.

La légende du loup-garou évoque également celle du voyage nocturne. En effet, la croyance qu'une personne donnée pouvait se trouver dans deux endroits en même temps est attestée dans les multiples récits où les blessures du loup se retrouvaient sur le corps humain qui demeurait au foyer[3].

À partir du XVe siècle, les légendes, en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font état de l’existence de philtres magiques pouvant aider les humains loups-garous à retrouver tout leur aspect humain

La lutte contre le loup-garou [

Le loup-garou ne se transformant qu’à la pleine lune, il suffit de l’enfermer durant cette période dans une cage ou une cellule solidement fermée et cadenassée.

Une fois la transformation effectuée, le lycanthrope voit ses forces décuplées, la seule arme efficace pour le tuer est un pistolet ou mieux un fusil à balles d’argent, si possible bénites.

L’exorcisme reste une autre façon de chasser l’esprit démoniaque qui a pris possession du corps du malheureux maudit et ainsi peut-être de lui sauver la vie.

Pour survivre à coup sûr, il faut le toucher en plein cœur et la balle ( obligatoirement en argent ) doit y rester. Si l’on veut y parvenir avec une lance ou un pieu (il faut transpercer son cœur), il faut que la lame soit entièrement en argent et bénie au nom du saint des chasseurs. Pour le garder sans danger, il faut une cage en argent (bénie elle aussi). L’argent béni lui provoque des brûlures insupportables ; il ne touchera pas les barreaux de sa cage bien longtemps, mais si elle lui résiste, il devient plus furieux, ce qui lui donne encore plus de force.

Les loups garous sont affaiblis par certains métaux.

Quand les loups garous se transforment, leurs os craquent et prennent une autre forme.

Leur coeur devient deux fois plus grand et bat deux fois plus vite.

Le mythe [

Le Loup-garou, estampe allemande de 1722.

Le mythe du loup-garou est très ancien et commun à de nombreux peuples européens. Du point de vue de la mythologie, le loup-garou a longtemps été indissociable du vampire, avec lequel il partage de nombreux points communs ; cependant, le mythe du loup-garou est beaucoup plus ancien que celui du vampire.

On retrouve le mythe de l’homme se transformant en animal féroce dans d’autres cultures.

Dans la mythologie pyrénéenne et basque, le Basajaun est un être mi-homme, mi-ours, qui apparaît parfois sous le nom de Jean de l'Ours.[4]

Dans le panthéon de l’Égypte ancienne, de nombreux dieux étaient représentés sous la forme d’un hybride, moitié homme et moitié animal.

Dans une vieille et héroïque saga tartare, Bürûh Kahn qui régnait sur six cent loups, passait une partie de son temps sous l'apparence d'un loup resplendissant comme de l'or
En Afrique, on note la présence de l’homme-léopard (Congo), de l’homme-chacal et de l’homme-hyène (Abyssinie).

Au Mexique, les nahuals et les tlahuelpuchi (uniquement dans l'état de Tlaxcala) sont des hommes-coyotes doués de pouvoirs magiques.

On signale également la présence de l’homme-tigre en Asie et de l’homme-requin en Océanie.

On signale aussi la présence d'Anuman en Inde représentant le dieux des singes. Un film en est issu.

Ces traditions ont peut-être inspiré les deux versions du film "La Féline" (1942 et 1982), où une jeune femme se métamorphose en panthère. Ce thème est d'ailleurs très présent dans la littérature et le cinéma fantastiques. Dans "L'Île du docteur Moreau" de H.G. Wells (1896), un savant fou tente de transformer des animaux en hommes , mais il n'arrive à créer que des monstres mi-humains mi-animaux. Dans le film "La Mouche noire" de Kurt Neumann (1958), c'est un biologiste qui se change accidentellement en un être hybride, mi-homme, mi-mouche. Enfin, dans le film "Sssnake" de Bernard Kowalski (1973), un autre savant fou parvient à transformer un jeune homme en cobra, mais celui-ci se fait immédiatement dévorer par une mangouste...

Le loup garou au Moyen-Âge [

Au XIIe siècle, Guillaume de Palerme parle du Leu-Garou. De nombreux sorciers avaient à l’époque pris l’habitude de courir dans les champs, les nuits de pleine lune, munis de peaux de loup, afin d’effrayer les populations. Marie de France compose un lai[10] dans lequel un chevalier doit se déshabiller entièrement avant de se changer en loup et dissimule ses vêtements sous une pierre creuse, car il ne pourrait pas retrouver sa forme humaine si on les lui dérobait.

De la fin du Moyen Âge et durant la Renaissance, en un peu plus de cent ans, on a enregistré, en France, près de 30 000 procès de loups-garous. Les populations rurales croyaient fortement à l’existence de ces « hommes loups » qui ravageaient les campagnes et s’attaquaient aux animaux comme aux être humains. En Europe, du XVe au XVIIIe siècle, près de 100 000 personnes ont été reconnues comme loup-garou et condamnées à être brûlées vives. Selon Collin de Plancy, des dizaines de milliers d’autres ont péri, sans autre forme de procès, lorsqu’un villageois était soupçonné d’être un loup-garou, il était attrapé et écorché vif, car la légende voulait que les poils se cachaient sous la peau.

Les voyages de l'âme [

Selon Claude Lecouteux[11] la croyance aux loups-garous est liée à celle des voyages de l'âme, dont elle ne représente qu'un cas particulier. Dans la mythologie nordique, hamr, "la peau", est une des formes que peut prendre "l'âme", l'homme pouvant en avoir plusieurs. Elle est précisemment la forme interne qui épouse intimement l'enveloppe corporelle. La manifestation de l' hamr s'accompagne d'un accroissement de force, peut prendre l'aspect d'un animal, et se jouer des distances et des obstacles[12]. Le changement de forme, "tandis que l'individu tombe en léthargie", est "un point qui rappelle exactement la transe pendant laquelle l'esprit du chaman visite l'autre monde et entre en communication avec les esprits qu'il interroge 
Selon Régis Boyer, le Hugr, dans la tradition Scandinave, est un principe actif universel qui peut parfois être capté par des gens malveillants pour produire des effets nuisibles. C'est ainsi que dans la Saga de Thórdr hredha, un homme voit en rêve dix-huit loups qui sont en fait le "hugr de loups" de ses ennemis, en fait le "mauvais hugr".

Un trouble de l'imaginaire [

« mélancholie ou folie louvière à cause de ceux qui en estoient atteints pensent être transformés en loup ou en chien. »

« maladie qui, dans les siècles où l’on ne voyait partout que démons, sorcelleries et maléfices, troublait l’imagination des cerveaux faibles, au point qu’ils se croyaient métamorphosés en loups-garous, et se conduisaient en conséquence. Les mélancoliques étaient plus que les autres disposés à devenir lycanthropes, c’est-à-dire hommes loups.

rediffusion samedi 25 octobre 2008 à 17 h

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 19:57

mercredi 15 octobre 2008
liz : le panthéon sa vie et son oeuvre


Le Panthéon de Paris cliquer ici pour voir




Les crânes de cristal cliquer ici pour voir

la légende des crânes de christal




rediffusion samedi 18 octobre 2008 à 10 h

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 18:48

lundi 13 octobre 2008
liz : la vie de chateau au siecle passé une élégance périgourdine Par Dominique Audrerie

Biron occupe une position stratégique à la lisière du Périgord et de l'Agenais. Son histoire est liée à la grandeur d'une famille, les Gontaut-Biron, qui tint le fief pendant huit cents ans.

Chaque siècle, entre les XIIème et XVIIIème, a laissé son empreinte, évoquant les vicissitudes de cet édifice monumental : donjon du XIIème, chapelle à double étage, appartements Renaissance, impressionnantes cuisines voûtées, salle des Etats, etc.





La vidéo "Quelques châteaux du Périgord" sur L'Internaute

Découvertes > Sites > Châteaux en Périgord > Le château féodal
   
  To see this page, turn off the pop-up blockerLes Châteaux :
Le château féodal

Au XIIe siècle, l'emploi de la pierre va se généraliser avec l'augmentation de l'insécurité et la montée de petits potentats locaux, même si le bois continue d'être utilisé pour certaines parties. On peut dès lors parler d'architecture castrale, comportant des éléments architecturaux caractéristiques. De puissants murs crénelés et talutés seront épaulés par des tours coiffées de galeries de bois nommés hourds et, plus tard, de mâchicoulis et de bretèches (guérites). Entre le XIIe et le XIIIe, les tours carrées seront remplacées par des tours circulaires ou polygonales qui faciliteront la défense du château. Les murs seront percées d'archères en raison de l'emploi de l'arbalète. Contre les travaux de sape, la base des murailles sera élargie permettant du même coup aux traits de ricocher. Des fossés profonds, seront mis en eau chaque fois que cela sera possible (on parlera alors de douves). La défense des portes, points faibles des remparts, fera l'objet d'un soin particulier. Elles seront équipées de herses, de grilles de bois ou de fer, coulissant de haut en bas. Le pont-levis permettra de filtrer les entrées indésirables et d'isoler totalement la courtine de l'extérieur. Il sera souvent flanqué de deux tours et parfois même d'un châtelet d'entrée sophistiqué. Les architectes multiplieront les enceintes (deux, parfois trois), et renforceront chacun des éléments : les courtines et les tours seront de plus en plus hautes et épaisses. L'épaisseur permettra de se protéger contre les sapes et l'artillerie (catapultes, et à partir du XVe siècle, bombardes), la hauteur permettra d'empêcher l'assaut par des échelles.
 
  .: Au Sommaire
 
 
     
  Présentation
Châteaux classés visitables
La motte castrale
Le château féodal
La Renaissance
La période classique
Carte des châteaux
     
   

 
 
Forteresse féodale de Beynac

Il est évident que l'architecture castrale a évolué parallèlement aux techniques de siège, l'artillerie venant bouleverser les règles guerrières et défensives. De ce fait, il devient nécessaire d'opter pour une stratégie offensive. Et pour cela, on se mit à construire des édifices plus massifs caractérisés par la réduction des angles, l'apparition de tours circulaires et de barbacanes, le percement d'archères. Certaines tours s'armeront même de canonnières, comme au château de Castelnaud. La défense se concentrera alors dans les parties hautes de l'enceinte, reliées par un chemin de ronde.
Mais, à la fin du Moyen Âge, le château fort touche à ses limites techniques : le coût de ces constructions devient prohibitif et, seuls les plus grands princes peuvent encore en financer. De toute façon, les progrès de l'artillerie à poudre rendent obsolètes les hautes murailles. Au XIVe siècle, le château va donc s'humaniser peu à peu, tout d'abord à l'intérieur de ses murailles (la disposition des salles témoigne d'une recherche nouvelle du confort et de la lumière), puis au XVe siècle, à l'extérieur, avec l'abandon des défenses médiévales

rediffusion samedi 18 octobre 2008 a 17 h

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 17:51

lundi 06 octobre 2008
liz ce trouve au pays basque 

 

 

Centre d'information du pays basque

Aller au pays basque

Pays Basque magique, entre mer et montagne, entre France et Espagne, visitez cette région du sud-ouest, au coeur des Pyrénées.

 

 

Le Centre d'Information du Pays Basque vous guide dans un voyage virtuel à la découverte de ce haut lieu du tourisme. Le tour d'horizon d'un patrimoine culturel unique, aux traditions millénaires, et aux nombreuses possibilités d'hébergement.
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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 16:26

pierre qui roule lundi 06 octobre 2008

liz : au pays basque 

Pays Basque

Côte basque et arrière-pays

Photos

Bienvenue au Pays Basque

Le pays Basque est un territoire s'étendant de part et d'autre des Pyrénées occidentales, c'est-à-dire qu'il englobe à la fois des régions françaises et espagnoles.
Notre séjour s'est uniquement déroulé dans la partie française du pays Basque, par manque de temps, car il y a beaucoup à voir et à faire !

La côte Basque française s'étend de Bayonne à Hendaye en passant par Biarritz et Saint Jean de Luz. Elle est constituée de falaises se jetant dans l'océan et abritant de superbes plages dont certaines sont prises d'assaut par les surfeurs. Le Pays Basque jouissant d'un climat très favorable les stations balnéaires s'y sont développées attirant de plus en plus de touristes désireux d'allier vacances culturelles d'une part mais aussi de profiter des bienfaits de l'océan.

L'arrière-pays Basque n'est pas moins attractif et notamment la vallée de la Nivelle qui abrite de somptueux villages traditionnels avec leurs habitations typiques aux couleurs rouges, vertes et blanches. Dans les vallées de belles balades sont possibles et permettent de profiter de paysages d'une grande diversité. Et pour une vue imprenable, l'ascension de la Rhune est indispensable !

Bref, vous l'aurez compris, le Pays Basque mérite qu'on y passe du temps à flâner dans les rues des villages, à se promener dans les campagnes, à goûter ses produits du terroir tels que les fromages et enfin à profiter des grandes étendues de sable donnant sur l'océan atlantique.

  rediffution samedi 12 octobre 2008 à 17 h

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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 20:44

mercredi 01 octobre 2008 l'histoire & nous

liz : recevait les éleves du lycée d'enseignement agricole privé "Le Cluzeau"
Mademoiselle Pauline Riviere & Lenuet Damien
"bac pro smr " (service milieu rural) 

Pour la présentation de la fête des vendanges qui cette année se déroule a Mescoules (Dordogne) le vendredi 03 octobre 2008






















rediffution vendredi 03 octobre de 9 h 30 à 10 h

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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 20:45

lundi 29 septembre 2008 
de 10 h a 11 h

pierre qui roule  liz :
Recoit Monsieur Kader belbachir
Pour L'association Cirquieme sens
ouverture de l'atelier de découvertedu mardi soir
les intervention dans les écoles
les séjours cirque avec hébergements
au chateaau du roc
les animations et les spectacles


















rediffussions  samedi 04 octobre 2008 a 17 h
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25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 17:32

jeudi 25 septembre 2008

liz : recevait Monsieur Pascal Janot
Directeur de la Maison des aidants
a Bergerac                            

                                                                                                       




rediffutions samedi 27 septembre 2008 de  10 h a 11 h

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